Révélations choquantes sur le prêtre pédophile Emilien Messina

Le Cameroun est en deuil depuis la mort d’Emilien Messina, prêtre de l’église catholique romaine, qui s’est éteint à l’hôpital régional de Bertoua le 15 mars. L’ancien curé de la paroisse du plateau était incarcéré à la prison civile de Bertoua pour des accusations de pédophilie, et avant sa mort, il avait donné sa version des faits. Selon lui, sa relation amoureuse avec une jeune fille de 14 ans avait duré deux ans avant qu’il ne décide de mettre un terme à celle-ci.

Le journal Le Jour rapporte que la jeune fille s’est adressée à sa tante après avoir découvert qu’elle était positive au VIH lors d’un examen biologique. Les déclarations du prêtre ont suscité l’indignation de nombreux fidèles qui ont dénoncé l’excès de ce prêtre controversé. Les témoignages sont accablants, car il est accusé d’avoir commis des actes similaires à Bélabo, une ville située dans la région de l’Est.

Le père Messina n’a pas duré longtemps à Bélabo, car sous la pression des fidèles qui ont dénoncé son appétit sexuel insatiable, il a quitté la ville nuitamment en abandonnant ses effets. Il fut alors promu à Bertoua, où il a commis ses méfaits avec la fille du commissaire de la localité. Certains habitants accusent l’église d’être restée sourde face aux multiples interpellations sur le cas de ce prêtre controversé.

Le cas du père Messina révèle l’ampleur du fléau de la pédophilie dans l’église catholique. Le silence de l’institution religieuse face à ces crimes commis par certains de ses membres est un sujet de préoccupation mondiale. Les fidèles se demandent pourquoi l’église attend de tels scandales pour agir.

Il est temps que l’église catholique prenne ses responsabilités et mette en place des mesures pour prévenir et punir les actes de pédophilie commis par ses membres. Les fidèles ont besoin de savoir que l’église est un lieu sûr pour eux et leurs enfants. En outre, les autorités civiles doivent enquêter sur les cas de pédophilie et traduire en justice les coupables.

Il est également essentiel de briser le silence qui entoure ces crimes et de permettre aux victimes de s’exprimer. Les victimes de pédophilie ont besoin de soutien et de justice pour guérir de leur traumatisme. Cela nécessite une prise de conscience et une mobilisation de toute la société pour mettre fin à cette horreur.

Le Cameroun doit faire face à ce fléau de la pédophilie et travailler ensemble pour protéger ses enfants. Les autorités civiles, l’église, les médias et la société civile doivent agir pour que de tels actes ne se reproduisent plus jamais. C’est une question de justice et de protection de nos enfants, qui sont l’avenir de notre nation.

En conclusion, le cas du père Messina est un exemple de l’ampleur du fléau de la pédophilie dans l’église catholique.

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