La bataille est rude. La succession semble très difficile et après BIYA réserve bien des surprises.
Depuis le début de cette guerre de succession au Cameroun, Chantal Biya ne s’est pas exprimée.
Sera-t-elle pour Franck Biya ou son bras droit Ferdinand Ngoh Ngoh visant un mandat ? Rien n’a échappé à sa position sur le sujet. Mais on sait très bien que Ferdinand Ngoh Ngoh le SGPR est considéré comme un pilier du système chantal et de ce fait il bénéficierait des bonnes grâces du chantal Biya dans cette bataille de clan.
Dans une récente parution, Jeune Afrique revient sur l’éternel mutisme de la première dame camerounaise, plus protectrice des adversités d’Après Biya.
« Parmi les clans, Chantal Biya brille par sa discrétion. Malgré de nombreuses opinions houleuses, rien n’apparaît qu’elle pense ou fasse. Le dernier touchait Ferdinand Ngoh Ngoh, le secrétaire général de la présidence, prétendument lié à la première dame », ont indiqué les médias.
Il se souvient aussi du mandat dont le SGPR était au centre. « Bien que ressortissant du chef de l’Etat et détenteur d’une délégation permanente de la signature présidentielle, il a été désigné par un mandat pour encadrer les poursuites du tribunal spécial de l’affaire dite ‘Covidgate' », rappelle Jeune Afrique.
On annonce également que les jours à venir sont très critiques et difficiles pour Ferdinand Ngoh NGOH.
« Certes, Paul Biya a suspendu cette procédure, mais le mal est en train de se faire. Etoudi n’est plus le temple entouré d’une auréole du mystère qu’il était. Et ce pilier du « système Chantal » a senti le vent du ballon et blâmé le coup. Et ce ne sera pas la dernière », ajoute Jeune Afrique.
« Compte tenu de l’âge de son mari, 89 ans, et de la perspective d’ouverture de la succession qui aiguise de nombreux appétits, Chantal Biya devra aider le président à la fin du mandat en cours, mais aussi se protéger de l’adversité. » Indiquent nos confrères de Jeune Afrique.
Rf: camerounweb
Laisser un commentaire