En mondovision de la chaîne STV TV, Clarence Yongo, qui était l’invitée de l’émission 7 Hebdo, a présenté sa collaboration avec le PURS de Serges Espoir Matomba comme l’un des faits qu’elle regrette dans sa carrière.
Et pour cause, les dirigeants de ce parti seraient des hommes qui pratiquent la fraude et le trafic d’influence.
« Je le regrette aujourd’hui. Je l’ai soutenu sans analyse profonde de qui ça peut être… J’ai pu voir la cachette que représente les partis politiques pour certains. Pour certains c’est une cachette pour pouvoir arnaquer, faire du trafic d’influence. », a déclaré Mme Yongo.
Ce n’est pas la première fois que Clarence Yongo accuse Matomba de tromperie. L’an dernier, la femme des médias publiait pour la première fois une tribune dans laquelle elle dévoilait le vrai visage de l’homme politique.
La scène, qui a connu son premier acte le lundi 22 février 2021, lorsqu’un texte attribué à la militante féministe a circulé sur les réseaux sociaux, expliquant comment et pourquoi elle « a reçu des visites de personnes qui ‘intimidaient’ voulues ». Dans le même texte, l’auteur desdites menaces est rapidement identifié dans des allusions tacites comme « le chef d’un parti basé à Bonaberi », « le milliardaire sans le sou ». Quelques heures plus tard, le mercredi 24 février 2021, sur le plateau de Soleil sur Sun TV, le promoteur de Griote TV confirmera d’abord la maternité du texte et la responsabilité des informations qu’il contient.
Elle accuse alors Serge Espoir Matomba « d’être un débiteur indélicat qui pense pouvoir l’intimider ». Aussi, elle exige la restitution de son argent et note par ailleurs le fait que des négociations sont engagées et que le dossier est entre les mains de son avocat.
De ce conflit, il n’y a pas qu’une question d’argent, puisque la journaliste note aussi qu’elle « a des informations selon lesquelles des photos montages sont entrain d’être réalisés pour porter atteinte à sa dignité ».
ref: camerounweb