Cameroon Magazine suit de près l’affaire Martinez Zogo qui divise les conseils des ayants-droits et la compagne du défunt. Depuis la découverte de sa dépouille le 22 janvier dernier, le corps de Martinez Zogo est scellé à l’hôpital central de Yaoundé, suscitant des tensions familiales.
Deux enfants du défunt viennent de saisir le juge d’instruction du tribunal militaire pour obtenir la remise du corps de leur père afin de procéder à son inhumation. Ils accusent la compagne de leur père, Diane Zogo, de vouloir s’approprier le statut de veuve et de mère de ses enfants, alors qu’aucun acte de mariage n’existe entre elle et leur père et qu’elle n’a pas d’enfant avec ce dernier.
Face à cette situation délicate, les ayants-droits sollicitent la levée du scellé pour pouvoir organiser les funérailles de leur père selon un programme en circulation depuis le début de la semaine. Cette affaire ne cesse de faire des vagues et suscite de nombreuses interrogations.
Dans cette atmosphère tendue, Cameroon Magazine suit de près l’évolution de cette affaire qui soulève de nombreux questionnements sur le droit familial camerounais. Nous continuons à suivre les développements de cette affaire pour en savoir plus sur les derniers rebondissements et les implications juridiques de cette affaire. Nous appelons nos lecteurs à rester informés et à nous suivre sur nos réseaux sociaux pour ne rien manquer des dernières actualités.
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