Dans l’émission Letalk avec nos confrères de Focus Media Africa, chercheur conseiller et président de l’Association pour la jeunesse et la citoyenneté active, le Dr. Aristide Mono a fait une sortie remarquée. Pour lui, « pour le moment, personne ne peut dire avec certitude qu’il y aura une succession constitutionnelle au Cameroun.
Le politologue relance un débat qui dure depuis des années. Dans la course pour succéder à Paul Biya, au pouvoir depuis plus de 40 ans, toutes les options semblent lui être ouvertes.
« Le droit, c’est l’émanation de la loi du plus fort. Le droit n’est pas une émanation divine. Ce n’est pas Dieu qui a envoyé le droit. La Constitution du Cameroun n’a pas été rédigé par Dieu… ce sont des hommes qui l’ont rédigé. Ce sont des hommes qui sont au pouvoir et qui sont déterminés à la garder pour la sécurisation de leur propre privilège. On a vu des manœuvres pour tordre le coup à la droiture du droit », a-t-il analysé
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