• Journée mondiale de l’aide humanitaire qui est célébrée ce jour-là.
• L’UNESCO a appelé la presse à se concentrer sur les questions humanitaires.
• L’UNESCO veut mettre en place un réseau de 1800 jeunes pour consolider la paix.
Journée mondiale de l’aide humanitaire qui est célébrée ce jour-là. En préparation de cette journée, l’UNESCO a organisé des rencontres avec la presse. L’occasion a été saisie pour revenir sur les projets qui sont proches du cœur de cette organisation onusienne. « Les jeunes, tisseurs de paix dans les régions transfrontalières du Gabon, du Cameroun et du Tchad ». Cette initiative vise à créer un réseau de 1 800 jeunes qui seront déployés pour consolider la paix dans les trois pays concernés et lutter contre le commerce illégal. L’Unesco prévoit également d’accompagner 160 jeunes dans des projets d’entreprise sociale sous le même prétexte. Par ailleurs, cette organisation onusienne contribuera non seulement à l’autonomisation économique des jeunes, mais aussi à l’implication de la société civile en général et des jeunes en particulier dans le mécanisme d’alerte précoce de l’Afrique centrale (Marac) de la Ceeac.
Interactions avec la presse
Parallèlement, hier, la presse a été interviewée sur des questions liées à la migration irrégulière et au secteur humanitaire. « Nous demandons aux journalistes de se concentrer sur les questions humanitaires, si nécessaire », a déclaré le coordinateur de l’information et de la communication du bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique centrale. A titre d’exemple, le décès survenu il y a quelques semaines dans le désert d’une jeune femme, habitante de la ville de Douala, a été cité.
On se souvient d’une vidéo dans laquelle une femme camerounaise est morte dans le désert, qui a circulé sur les réseaux sociaux à partir du 1er août, où elle a été vue des centaines de milliers de fois. La femme de 37 ans est alors décédée. Elle avait quitté Douala avec d’autres personnes le 20 juillet, à la recherche d’une vie meilleure. Son cas a relancé le débat sur les dangers de l’immigration illégale au Cameroun.
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