Alors que l’OMS s’inquiète d’un « tsunami »Après l’augmentation du nombre d’infections du variant Omicron dans le monde, l’Afrique du Sud apporte à son tour de bonnes nouvelles. Selon le gouvernement, le pays a dépassé le pic de sa quatrième vague de contamination, qui a débuté fin novembre et a été beaucoup plus courte que prévu.
Avec notre correspondant à Johannesburg, Claire Bargelès
Les Sud-Africains retrouveront un peu de liberté. Cyril Ramaphosa notamment, un couvre-feu a été levé, une annonce très attendue à l’approche du réveillon et accueillie avec soulagement par les restaurants et les bars. Et maintenant, un maximum de 1 000 personnes sont autorisées à se rassembler à l’intérieur, 2 000 à l’extérieur.
Le gouvernement estime donc que la majeure partie de cette vague courte est terminée, avec une baisse de 30% des infections, selon un communiqué de presse la semaine dernière. Un chiffre avec lequel il faut être prudent, car le pourcentage de positivité reste à 28% et le nombre de personnes testées a diminué en raison des longues vacances d’été.
La Présidence justifie également sa décision en expliquant que « bien ça la variante Omicron est hautement transmissible, les admissions à l’hôpital ont été plus faibles que lors des vagues précédentes Le pays n’a pas non plus connu d’augmentation spectaculaire du nombre de décès.
Cependant, Cyril Ramaphosa appelle les Sud-Africains à continuer à se concentrer sur l’effort de vaccination, alors que seulement un quart de la population a reçu les doses nécessaires.
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