A Madagascar, la Banque mondiale et le gouvernement malgache ont signé un projet de 220 millions de dollars pour améliorer l’accès à l’eau potable. Mais l’institution a indiqué passer un contrat de performance avec la société nationale d’eau et d’électricité Jirama. Ces dernières semaines, les dégrèvements fiscaux ont augmenté à travers le pays, mettant fin à la population.
Avec notre correspondant à Antananarivo† Laura Verneau
220 millions de dollars viennent de la Banque Mondiale pour que la Jirama, le service national d’eau et d’électricité, actuellement en capacité, s’approvisionne en eau et dessert davantage de villes en province. Mais cette fois avec un contrat de performance dans lequel certains versements sont étalés sur cinq à six ans.
Réforme de la gouvernance
Pour le représentant de la Banque mondiale, la Jirama doit réformer sa gouvernance, avant d’ajouter que l’eau d’une borne-fontaine coûte trois fois plus cher que l’eau d’un branchement domestique. † Pensez-vous que cela est juste? « , s’est-elle adressée aux représentants de l’État. † Le plan doit être budgétisé de manière à ce que la population puisse responsabiliser la Jirama avec des éléments mesurables† †
La Jirama en émoi
La compagnie nationale d’eau et d’électricité est en effet dans la tourmente. Des coupures quotidiennes d’eau et d’électricité de plusieurs heures se font sentir dans tout le pays depuis plusieurs mois. Selon la Banque mondiale, seulement 54,4% de la population malgache a accès à l’eau.
►Lire aussi : Madagascar : Des entreprises appellent à des solutions aux coupures d’électricité à Antananarivo †17 janvier 2022†
#Madagascar #Banque #mondiale #appelle #des #réformes #des #services #deau #délectricité
Laisser un commentaire