La force Barkhane a entamé mardi matin la phase finale de la remise de la base de Kidal, dans le nord du Mali, aux Nations unies (Minusma) et à l’armée malienne, a indiqué l’état-major français.
« Ce matin, le dernier convoi logistique est parti pour Gao. Un détachement de Barkhane reste sur place pour les dernières formalités administratives et logistiques. », soyez le porte-parole de l’état-major, colonel Pascal Ianni. Paris s’est engagé en juin à être appareil militaire jusqu’à sahel, en particulier les bases les plus septentrionales de la Mali (Kidal, tomboucto et Tessalit) et en prévoyant de réduire ses effectifs dans la région à 2 500-3 000 hommes d’ici 2023, contre plus de 5 000 aujourd’hui.
« Le transfert vers la Minusma et les forces armées maliennes sera définitif dans dix jours », a ajouté le porte-parole, insistant « coopération étroite avec les autorités et l’armée » du Mali. Les relations entre Paris et bamako s’est intensifié le 25 septembre, lorsque le Premier ministre de transition malien, Choguel Kokalla Maiga, a accusé le La France, militairement engagé au Mali . depuis 2013« abandon en vol ».
Les critiques devraient justifier l’utilisation possible du groupe de sécurité privé russe Wagner, décrit comme proche du président Vladimir Poutine, pour compenser la réduction du profil d’appui Barkhane. Le détachement resté à Kidal, dont le nombre n’a pas été révélé « Pour des raisons de sécurité », devra faire « réassurance » avec des partenaires en France, a déclaré le porte-parole, poussant pour un procès « contrôlé, contrôlé, sûr ». Et d’insister sur le fait qu' »il n’y a pas de faire dire qu’on abandonne le Mali ».
Les moins a 1 300 soldats à Kidal, Guinéens et Tchad. Les Forces maliennes collecté 400 pour leur part, a indiqué la même source.
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