Une affaire politique sur fond d’éventuel projet de cyber-espionnage alimente Mauritius et Mauritius Telecom, la société publique de télécommunications qui se classe parmi les « dix premiers » opérateurs économiques de l’île. La directrice générale, Sherry Singh, a démissionné jeudi 30 juin, au motif que le Premier ministre, Pravind Jugnauth, lui aurait demandé d’installer des équipements d’un pays étranger pour surveiller les activités et lire les messages des internautes en visite à Maurice. sortir.
Avec notre correspondant à Port-Louis, Abdallah a demandé
Le directeur de Mauritius Telecom a dit que c’était trop. Ceci, a soutenu Sherry Singh, après sa démission » est contre l’intérêt des citoyens, du pays et de certains pays amis † je ne peux pas vendre mon terrain ‘ il prétendait.
Équipement de surveillance
Le chef de l’opérateur public de télécommunications affirme que le Premier ministre voulait autoriser un pays étranger à installer des équipements qui surveilleraient et décrypteraient le trafic Internet entrant et sortant de Maurice. Le directeur de Mauritius Telecom insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’allégations. lumière †
Celles-ci sont d’autant plus retentissantes que Sherry Singh était jusqu’à récemment un homme influent dans l’entourage du pouvoir, très proche du Premier ministre. Pravind Jugnauth qui, de son côté, confirme que son ancien ami « ment et l’a exhorté à porter plainte à la police.
La population choquée
Une affaire qui a beaucoup été entendue dans les médias mauriciens, qui a choqué la population et l’opposition politique. De son côté, l’ancien Premier ministre Navin Ramgoolam estime que « si c’est vrai, c’est une haute trahison envers l’état †
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