Cet hôpital, situé dans la ville de Goma, est surchargé depuis plusieurs semaines. Chaque jour c’est le même scénario : un ballet de patients qui ne cessent d’affluer depuis l’éruption volcanique du 22 mai. Problème : L’établissement de santé a du mal à suivre.
L’hôpital a une capacité de 300 lits. Mais depuis l’éruption volcanique, pour les cas liés à l’éruption volcanique jusqu’à la semaine dernière, nous avons eu environ 900 cas. Nous étions vraiment confrontés à des catastrophes, des patients souffrants, des femmes enceintes souffrant de souffrance fœtale, du stress », explique Guylain Nvuama, directeur de l’hôpital de Kyeshero.
Le nuage de cendres après l’éruption a provoqué des maladies respiratoires ou aggravé les cas de patients déjà souffrants comme cette femme qui utilise de l’oxygène.
»Nous avons eu assez d’infections respiratoires, notamment de pneumopathie aiguë, nous avons eu des cas d’aggravation de crises d’asthme et pour certains patients atteints de pathologies respiratoires chroniques ou autres comme le diabète », explique Faustin Karuhije, l’un des médecins de l’hôpital. .
L’éruption surprenante du volcan et la peur qu’il se réveille à nouveau ont causé du stress à certains patients. Au moins 25 femmes ont accouché dans cet hôpital quelques heures après l’éruption volcanique.
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