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CM – Il y a un an, les États-Unis reconnaissaient le Maroc saharien

Donald Trump, président des États-Unis, a annoncé la reconnaissance du caractère marocain du Sahara occidental par les États-Unis.

Il y a un an, le 10 décembre 2020, Donald Trump, alors président des États-Unis, annonçait la reconnaissance du caractère marocain du Sahara par les États-Unis. Un an plus tard, et bien des évènements plus tard, que dire de cet évènement autre que le positif est bon pour le royaume qui disparait sobrement ?

Voyons que les relations américano-marocaines, d’ailleurs très bonnes, ne se feront sentir encore mieux qu’après la conclusion des « Accords d’Abraham », comme celui avec Israël. « Là ils s’enrichissent jour après jour, avec des accords ici » et là au fur et à mesure des visites officielles.

Le président Joe Biden reste sur la bonne voie sur le caractère marocain du Sahara, et son gouvernement a le royaume comme un « hybride ». « Régime classé. Vous n’êtes pas obligé de rester dans une zone de confort, car la Tunisie et, au contraire, l’Algérie ou l’Egypte sont classées comme autoritaires. Le Conseil de sécurité de l’ONU a prolongé d’un an la Minurso, Staffan de Mistura a été dûment nommé ministre, envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara.

Quelle chance, dit Mohamed Talib, membre du Conseil royal consultatif pour Affaires sahariennes (CORCAS). « Ce qui n’est pas le cas avec les voisins du pays, c’est comme des épées dans l’eau et des milliards de dollars perdus face à une myriade d’efforts pour récolter de force les lobbies pour une cause perdue sur laquelle faire pression et le président américain Joe Biden d’un possible demi-tour convaincre la décision des États-Unis. Les parlementaires américains n’ont pas le droit d’envoyer des lettres pour faire pression, non pas par principe, mais par intérêt. Rien ne permet à Biden de coller à ses positions », souligne-t-il.

En gros, Hespress P. Mohamed Talib a déclaré : « Maroc peut avec cela Pour l’année être satisfait d’une situation qui joue en notre faveur par rapport à l’autre partie qui vient de s’aggraver, en profitant des accords passés avec nos alliés dans les domaines de la défense, l’agriculture, la technologie moderne, la formation (5 000 ingénieurs) et bien plus encore.

Et Talib continue : « D’un autre côté, la dynamique de développement se poursuit et se poursuit avec des projets d’envergure, et surtout dans nos provinces du sud nous relevons des défis, politiques, économiques, sociaux Si vous le pouvez Si vous le regardez, c’est comme ça : l’Algérie s’est officiellement retirée des tables rondes, plus tard les descendants du Polisario d azu. Cela complique la tâche pour Staffan de Mistura, car quiconque dit à la table ronde dit que la décision du Conseil de sécurité n’est pas une décision de l’envoyé personnel.

Pour clore le chapitre, le membre du CORCAS aura ces mots : « L’Algérie et le mouvement séparatiste doivent sortir de la rhétorique de chaque année, celle de celui qui porte le ton par le milieu. Car qui gâche la mission de De Mistura, qui * a rompu le cessez-le-feu, qui est à blâmer etc… aujourd’hui le Conseil de sécurité doit appeler les choses par leurs noms et assumer la responsabilité… du consulat américain à Dakhla, la livraison de des armes tardives au Congrès et une revue de la manière dont nous traitons les actes juridiques de l’homme qui est un point sensible au niveau des élus, notamment les républicains, et qui peut les influencer dans certaines décisions. Il faut crever l’abcès. » De son côté, l’universitaire et politologue marocain Mustapha Sehimi a estimé que « l’accord tripartite entre Rabat, Tel Aviv et Washington était un événement politique important » et a déclaré que « » dans la question du Sahara marocain de la Marche verte et la reconnaissance américaine du Sahara peuvent être vues comme les deux points les plus importants de l’histoire de la voie de plaidoyer de la diplomatie marocaine AT.

« La question tire son éclat du fait que l’Amérique est politiquement, économiquement et militairement une puissance mondiale qui estime que les actes se dirigent vers un bouclage diplomatique au niveau international », a-t-il déclaré dans un communiqué à Hespress FR.

Pour Mustapha Sehimi, la question du Sahara a pris au niveau international un nouveau tournant, car la reconnaissance est désormais l’Union européenne et des pays comme la France et l’Espagne ainsi que le Parlement, l’UE L’Union européenne et certains de ses ennemis marocains.

Sur le continent, la reconnaissance s’étend aux positions de l’Union africaine et de certains pays hostiles comme le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Angola, et malgré toutes les interventions de l’Algérie, Biden n’a pas changé le contenu de l’accord.

Cependant, l’universitaire et politologue a souligné que « la mobilisation et la poursuite des efforts diplomatiques restent nécessaires pour faire face à l’Algérie avec sa responsabilité historique ».

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