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Un homme de 49 ans qui s’était retranché dans sa maison d’un village des Hautes-Alpes depuis mardi après-midi est décédé mercredi des suites d’une blessure à la poitrine subie lors de l’attaque des gendarmes du GIGN
AFP / Archives / LUCAS BARIOULET
Motivations, posture menaçante, agression mortelle… Ce que l’on sait après la mort du fou des Hautes-Alpes
Un homme de 49 ans qui se trouvait dans sa maison d’un village des Hautes- Alpes depuis mardi après-midi. Alpes est décédé mercredi des suites d’une blessure à la poitrine subie lors de l’attaque des gendarmes du GIGN, a-t-on appris de source proche du bureau de vote.
Les gendarmes locaux sont intervenus mardi vers 14h30 au Village. de Saint-Etienne-le-Laus près de Gap à cause d’une dispute familiale.
L’homme qui était armé d’un fusil de chasse s’était rendu menaçant, mais sa mère avait réussi à sortir de la maison.
Orange GIGN est arrivé le mardi soir avec un négociateur sur place. Mercredi matin pourtant, « le contact était difficile, quasi inexistant », ce qui rendait une attaque inévitable à moins que l’homme ne sorte de lui-même, a précisé le procureur.
Le GIGN a été « contraint au vu de son comportement menaçant ». de tirer pour les neutraliser », a déclaré à l’AFP le procureur de Gap Florent Crouhy peu après. « Il a touché (son arme) à plusieurs reprises et l’a pointée sur les gendarmes », a-t-il ajouté.
Une enquête a été ouverte pour « déterminer les circonstances précises de la réaction du gendarme, qui à ce stade était adaptée à la situation dangereuse semble être là où se trouvaient les gendarmes au moment de l’opération », a précisé le magistrat.
Saint-Etienne-le-Laus, un petit village entouré de forêts de moins de 300 habitants, était selon l’un devant des correspondants de l’AFP présents sur place ont été complètement bouclés par la police.
La mère et la sœur du fou étaient présentes dans la mairie, qui a été transformée par les autorités en poste de commandement.
L’une était en Dordogne lundi En représailles incendie un homme a été grièvement blessé et interpellé par les gendarmes du GIGN après une grande chasse avait commencé la veille et qui avait entraîné la fermeture du village, un appel à témoins et la mobilisation d’autres personnes plus de 300 soldats.
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