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CM – Ostreopsis, une microalgue trouvée en Méditerranée dès 2007

Une microalgue tropicale vénéneuse appelée Ostreopsis vient de faire son apparition sur la côte basque. Une première très inquiétante car cette algue peut provoquer des symptômes respiratoires, oculaires et grippaux. Cette découverte a contraint des villes côtières comme Biarritz, Bidart ou Guétary à fermer leurs plages le dimanche et à interdire la baignade.

Ostreopsis ovata nous vient des tropiques. Il a été aperçu pour la première fois dans la baie de Villefranche en 1972, mais était principalement en Italie, en particulier à Gênes. Un petit nombre d’algues est inoffensif, mais lorsqu’elles se multiplient, elles peuvent provoquer de graves empoisonnements, fièvre, nausées et irritations.

L’archive au début de l’article date du 25 juin 2007, lorsque l’Ostreopsis a été placé sous stricte surveillance par les scientifiques car il était désormais présent en Méditerranée sur les côtes françaises, où il est devenu très plat près des côtes. .. Et avec elle les plages. Roger Kantin, ingénieur Ifremer, a dressé le portrait de cet homme indésirable, repéré près du Frioul l’année précédente et qui avait demandé la fermeture de la plage : « Parce que ça irrite ». On ne savait pas grand-chose de cette algue exotique à l’époque, si ce n’est qu’elle aimait « la chaleur et la luminosité ». conditions dans lesquelles il se propage. » que l’on ne connaît pas encore, car s’il n’y avait que température et lumière, il pourrait pousser n’importe où. « 

A cette époque, l’Ifremer, l’Observatoire de Villefranche et l’Observatoire du littoral de Nice attendaient pour le feu vert et un budget de 120 000 euros, pour entamer une étude plus approfondie. Un an plus tard, l’étude pourrait débuter au laboratoire de Villefranche. Des prélèvements ont été effectués à Gênes en Italie et à Marseille. Il faudrait encore deux ans pour connaître ces « amas gélatineux, inoffensifs [d’algues] en petit nombre, mais toxiques lorsqu’ils se multiplient ». Pour les échantillons, les étudiants en écologie ont reçu pour instruction d’aller dans l’eau pour récupérer ces organismes.

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Sa présence « presque partout en Méditerranée » inquiète déjà et déjà ces chercheurs. L’Ifremer avait fixé des vitesses au-dessus desquelles elles deviendraient dangereuses et a également établi une corrélation entre la hausse des températures des eaux de surface en Méditerranée et leur répartition. Le 25 juillet 2008, quelques jours seulement après l’annonce précédente, une plage de Villefranche devait être fermée suite à l’observation d’un fort courant d’Est. La mairie est restée optimiste.

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En 2015, les recherches des scientifiques étaient bien avancées. Les chercheurs de l’Ifremer se voyaient comme des lanceurs d’alerte entre la surveillance de l’eau et la détermination des causes de la formation de ces microalgues toxiques. Des échantillons d’Oysteropsis ont montré le lien entre l’évolution du climat et celle des fonds marins (réchauffement de l’eau, acidification) â ??

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L’apparition de l’algue Ostréopsis au Pays basque inquiète et étonne, comme le soulignait Sarah Halimi de l’ONG Surfrider Foundation dans une interview accordée à France Info le 10 août.  » T 2021 :  » C’est vraiment un phénomène qu’aujourd’hui il est difficile à comprendre et difficile à définir car les algues, comme je l’ai dit, sont tropicales, elles aiment les eaux chaudes, les milieux calmes et peu de profondeur, ce qui n’est pas vraiment la caractéristique de la côte basque. « Les chercheurs ont besoin de percer ce nouveau mystère.

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