Home Actualité internationale CM – Salles de tournage : le gouvernement veut les immortaliser après 2022
Actualité internationale

CM – Salles de tournage : le gouvernement veut les immortaliser après 2022

Début juin, le cabinet d'avocats d'Olivier Véran a évalué les résultats des deux structures de ce type testées à Paris et Strasbourg depuis 2016 comme "positifs".

Le gouvernement autorisera l’aménagement de salles de consommation de médicaments sécurisées au-delà de 2022. Le ministère de la Santé l’a annoncé à l’Agence France-Presse jeudi 15 juillet. La ville de Paris souhaite également agrandir ces surfaces au vu de la fissure dans le nord-est de la capitale.

Début juin, le cabinet d’Olivier Véran a noté les résultats des deux bâtiments de ce type testés depuis 2016 à Paris et Strasbourg comme « positif » et a déclaré que l’on voulait ces appareils, dont l’expérimentation n° n’était prévue que jusqu’en 2022.

Cependant, ce projet a été suspendu par Jean Castex pour arbitrage, alors que ces « tirs » irritent même au sein du gouvernement. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est publiquement prononcé contre la création d’un tel espace à Lille fin juin, et le préfet de police Didier Lallement a régulièrement répété la résistance de Beauvau aux « salles de consommation de drogue » à Paris.

Le Premier ministre Le ministre a désormais tranché et le ministère de la Santé explique que le dossier est « bien réglé ». Une disposition visant à prolonger l’existence de ces Salles de consommation sûres (SCMR) doit être inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, qui sera voté par l’Assemblée nationale en septembre. De quoi permettre aux villes qui veulent créer de nouvelles structures.

A LIRE AUSSI Au nord de Paris les habitants craquent à cause du crack

Assez pour changer la donne à Paris, où les ravages sont liés au crack ont ​​pris une tournure dramatique tour au cours des derniers mois. Malgré un plan de bataille coordonné par la mairie et divers services gouvernementaux, des centaines de toxicomanes parcourent le nord-est de la capitale, au grand dam des riverains, désespérés par les violences et le harcèlement.

Face à cela Dérivé de cocaïne à fumer, la maire Anne Hidalgo refuse pour la énième fois de « déplacer » les toxicomanes, comme le demande la préfecture de police. Au lieu de cela, elle souhaite ouvrir plusieurs zones d’accueil dédiées où elle pourra fumer du crack. La semaine dernière, le socialiste a surtout promis l’ouverture d’un tel bâtiment « dès cet été ». A terme, la collectivité espère créer quatre ou cinq salles de consommation à Paris, selon plusieurs élus de leur majorité.

Mardi, Olivier Véran a déclaré à l’Assemblée nationale que « la clé du succès dans l’installation de tels appareils est d’abord de tout un consensus ». Selon le ministre de la Santé, « le travail du maire de Paris est d’organiser des consultations et des consultations avec les concitoyens de Paris ».

Comment imaginez-vous que l’État utilise l’argent des contribuables pour financer des théâtres dans lesquels des drogues illégales sont consommées et des gens détruits ?
Comment peut-on dire que la salle de tir actuelle à Paris produirait des résultats satisfaisants s’il devait aspirer de plus en plus de toxicomanes dans le quartier et donc que les dealers se focaliseraient sur eux ?
Comment cet environnement hautement dangereux peut-il se justifier auprès des habitants de telles pièces, tant en termes de violences redoutées de toxicomanes qui retournent dans la rue après avoir traversé la pièce, qu’en termes d’exposition à de fortes doses d’enfants et d’adolescents, qui vivent dans les rues avoisinantes, et que l’habitude de voir ce spectacle d’affaires et de fous comme une scène normale et quotidienne risque de céder un jour à la tentation ?
Les habitants et leurs enfants n’ont-ils pas droit à un espace public SAIN et SR, exempt de trafiquants de drogue et de toxicomanes imprévisibles, dont les autres habitants d’autres parties de la ville peuvent bénéficier jusqu’à ce que leurs enfants puissent bénéficier de a. se laisser aller seul dans la rue ? certain âge ?
Quelles sont les options pour ces résidents? Qui est responsable de la violence que certains endurent, qui sera responsable de leur enfant demain ou après-demain, lors d’un moment de révolte ou de deuil adolescent, se retrouve aussi sur la crête d’un dealer s’il le voit au travail tous les jours en allant au collège ?

Avec Hidalgo, Paris est déjà devenue une poubelle à ciel ouvert, une ville où les piétons risquent la mort en scooter, elle devient désormais une immense salle de tir et abreuve tous les toxicomanes de France et de Navarre. Les Parisiens, enfin les BoBos-socialos-écolos-cocos. Je le voulais, maintenant vous l’avez. Si vous voulez le trouver, vous savez où le trouver.

Battre les salles ? Des tournants ? Question : Quelqu’un a-t-il pensé qu’il valait mieux lutter contre le trafic de drogue ? Quelle lâcheté ! Espérons qu’il y aura au moins un suivi et une aide psychologique pour que ce ne soit pas qu’un faux anonyme qui ne fait que retarder l’inévitable et masquer la misère… Les pauvres

Lire les articles de la rubrique Entreprise,
Suivez les informations en temps réel et accédez à nos analyses d’actualités.

FAQCrédit d’impôtTutoriel vidéoPublicitéContactPlan du siteMentions légalesCharte de modération CGUCGVPolitique des cookiesPolitique de protection des données personnelles Archives

Créez un compte pour accéder à la version numérique du magazine et à tout le contenu Point inclus dans votre annonce.

Pour cela, saisissez votre numéro d’abonné dans les paramètres de création de compte.

La rédaction du Point – plus d’une centaine de journalistes – vous accompagne
ses enquêteurs, ses reporters, ses correspondants sur tous les continents.
Notre travail? Enquêter, révéler et, surtout, ne jamais lâcher prise. Recettes de
L’abonnement et la publicité nous donnent les moyens d’un journalisme gratuit et de qualité.
Pour nous lire, abonnez-vous ou acceptez les cookies.

Keywords:

Government,2022,Supervised injection site,Olivier Véran,Government, 2022, Supervised injection site, Olivier Véran,,Santé,olivier véran,drogue,crack,salles de shoot,,,,,,,Social-Police-Santé-Services-Toxicomanie-Drogués-Anne Hidalgo-Didier Lallement-Jean Castex-Gérald Darmanin-Olivier Véran-Mairie de Paris-ministère de la Santé,

[quads id=1]