Home Exclusif: la vraie raison du lynchage diplomatique de Paul Biya enfin dévoilée par un journal

Exclusif: la vraie raison du lynchage diplomatique de Paul Biya enfin dévoilée par un journal

Incontestablement non encore exploité, le sous-sol camerounais qui est l’un des plus riches du monde est la cause de la sauvage campagne de déstabilisation dont fait face le président Paul Biya et le Cameroun. Le président de la République qui a depuis son accession au pouvoir, fait de la préservation des ressources et richesses naturelles son combat, est de plus en plus l’objet des pressions internationales faussement adossées sur le fallacieux prétexte de sa longévité au pouvoir. Depuis l’année dernière que le pays de Paul BIYA est sur le point de rentrer dans le cercle très fermé des pays possédants des TERRES RARES avec la découverte de plus de 300 minerais différents identifiés, à l’issue d’une longue recherche financée par la Banque mondiale, la pression est de taille. L’occident veut placer après Biya une marionnette dont le rôle sera de brader tout le patrimoine minier et forestier du Cameroun. Empêcher la transition pacifique et rompre la stabilité politique est donc la méthode choisie par certaines grandes puissances voraces, comme cela a été le cas en Centrafrique. Car il est plus facile de piller un pays en guerre et éclaté en factions de potentats qu’il ne l’est dans un pays stable… Depuis l’année dernière que le pays de Paul BIYA est sur le point de rentrer dans le cercle très fermé des pays possédants des TERRES RARES avec la découverte de plus de 300 minerais différents identifiés, résultat d’une longue recherche financée par la Banque mondiale, la pression est de taille. Les chercheurs de la BANQUE MONDIALE et Camerounais n’en ont dévoilé que 300 espèces avec des gisements immenses. Mais en réalité ce nombre devra tripler lorsqu’ils exploreront les autres régions du pays. C’est à la suite de ça qu’ils pourront établir la carte d’identité du sous-sol du pays de Paul BIYA. En 2014, la Banque mondiale a consacré 1 milliard de dollars pour dessiner et faire la cartographie minière de l’Afrique. Les cartes géologiques du continent africain sont quasiment vierges. La Banque mondiale veut soit disant aider l’Afrique à les compléter mais la vérité saute à l’œil si bien que même Stevie Wonder la verrait. L’institution de Breton Wood y a mis les moyens : 200 millions de dollars par an pendant cinq ans, pour une surface équivalente à l’Europe, les Etats-Unis, la Chine et l’Inde réunis !

Les géologues et spécialistes de la banque mondiale sont au Mali, Niger, Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, RDC, Tchad, Rwanda, Soudan, Zimbabwe, Kenya, Burkina Faso, Guinée, Burundi etc… Le panorama des multiples découvertes effectuées en Afrique est ahurissant de positivité. Au nord Mali, le plus grand gisement d’eau douce d’une capacité qui peut garantir la demande en eau de la planète pour 200 ans a été découvert. Sans compter l’or et autres. Pour ceux qui ne savent pas encore, la guerre de demain sera la guerre de l’eau et seul le nord Mali pourra alimenter tous les pays du monde avec sa grosse nappe phréatique qu’il a sous ses pieds. L’Armée française y est depuis confortement installée dans le cadre de la fameuse et interminable opération ‘’Barkane’’. Cette digression sur le Mali ne doit pas occulter notre sujet. Celui du Cameroun.

Précision: Comprendre la notion de Terres rares

Les terres rares forment un groupe de métaux aux propriétés voisines comprenant le scandium, l’yttrium et 15 lanthanides comme le néodyme et le samarium. Elles sont considérées comme des matériaux stratégiques. La Chine détient le quasi-monopole de l’exploitation des réserves mondiales de terres rares. Les pays possédants les terres rares sont: La Chine, les USA, la Russie, le Brésil, le Burundi. Il est évident de comprendre le statut exécrable qui a été affublé au président Nkuruziza Burundi qui est littéralement déstabilisé. D’après nos sources, la Malaisie et bientôt le Cameroun devront eux aussi être déstabilisés. Il est loisible de constater avec tristesse que les seuls pays déstabilisés dans ce cercle très fermé ne sont que les pays les moins armés. Les pays dits faibles de même niveau de défense que le Burundi et Cameroun. Le fait incroyable est que de tout ces pays qui ont des terres rares, le cas du Cameroun est très spécial et fait peur. Peur qui risque déclencher un gros CLASH entre puissances. Une explication existe : Dans les autres pays, on trouve 3 ; 10; 30 minerais différents pas plus qui sont classés TERRE RARE, alors qu’au Cameroun, juste dans trois régions du pays, l’on a découvert plus de 300 minerais tous différents des uns des autres avec des gisements dépassant tout entendement. En se laissant aller à un petit tour de méninges il est aisé d’imaginer les résultats que ces études produiront lorsque les chercheurs géologues de la Banque Mondiale et camerounais auront sondé les 10 régions du pays.

UN VRAI SCANDALE GÉOLOGIQUE TOUT SIMPLEMENT !

Cette information était gardée secrète par les chercheurs de la banque mondiale qui avaient découvert ces minerais juste quelques mois après leur entrée en action au Cameroun en 2014. Depuis 2015 ils ont découvert toutes ces richesses en ont informé discrètement la BM qui est leur patron et cette même BM mondiale en a informé les multinationales qui sont le vrai patron de la banque mondiale, que dans un bout de terre en Afrique centrale qui s’appelle Cameroun, ils sont sur le point de découvrir le « jardin d’éden » tant recherché. Les seules informations que les géologues de la banque mondiale donnent à leurs homologues camerounais sont la découverte de gisements d’or à ESeka, le gisement de diamants, d’uranium et de pétrole dans le nord, les réserves de gaz à logbaba et kribi etc. Ils s’en contentent et remontent ces maigres informations à Yaoundé et sont trop content d’avoir bien bossés. Or le diamant, l’or, l’uranium, le pétrole, le gaz ne sont pas les terres rares. En creusant sous son lit avec un peu de détermination, on peut trouver du pétrole et de l’or… Depuis 2015, les informations sur les terres rares ne sont pas communiquées aux autorités de Yaoundé. Mais dans toutes les chancelleries occidentales ça discutent fort sur comment mettre le grappin sur le Cameroun…

Ainsi commence la déstabilisation Boko Haram, Crise au NOSO, les rebelles de la Seleka qui tentent une percée à L’EST. Le pays de PAUL BIYA est tout simplement encerclé… sans toutefois savoir le véritable problème. Les petits esprits accuseront la mauvaise gouvernance, d’autres parleront des inégalités, quelques-uns avec un esprit analytique très pertinent s’approchent de près du véritable problème en invoquant les matières premières. C’est la que les séjours Suisses du président camerounais commencent donc à produire de bons fruits… La direction de l’hôtel intercontinental que nous avons approché nous dit que: « le président camerounais est un client qui rapporte rien que pour sa simple présence à l’hôtel plus de 65% du chiffre d’affaire quand il est là ». Mais comment est-ce possible? Nous lui avons posé la question : « Quand il est là, notre hôtel se transforme en palais présidentiel. Des demandes d’audiences, le président camerounais accorde des audiences aux hommes d’affaires, aux ministres de certains pays, a des délégations américaines, chinoises, brésiliennes, des ambassadeurs de certains pays etc. Tout ce beau monde devient de facto nos clients car ils prennent aussi leurs quartiers dans notre hôtel ». C’est donc en 2018 en Suisse grâce a sa diplomatie silencieuse et des deals qu’il a passé avec un certain nombre de partenaires que cette information sur les terres rares découvertes dans son pays lui a été révélée. C’est donc certains représentants diplomatiques basés à Genève et à Berne accompagnés d’hommes d’affaires qui lui ont dit que depuis la fin d’année 2014 et début 2015 : « les terres rares ont été découvertes dans votre pays monsieur le président au nom de notre amitié nous vous livrons ces informations… et tout ce que vous connaissez comme désordre depuis 2014 a maintenant n’est qu’une suite logique liée à cette découverte… Deux minutes de silence dans sa suite. Le silence était tel qu’on aurait entendu le bruit des battements de paupières, nous raconte notre source ». C’est alors là que les officiels camerounais pouvaient dire avec certitude et sans ambage, ce pour quoi on leur fait la guerre.


SOURCE: https://bit.ly/2InslwR

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