Séduction: Jean de Dieu Momo est un grand séducteur

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• Jean de Dieu Momo aime les femmes

• Par-dessus tout, il aime la séduire

• Voici une histoire qui le prouve

L’homme politique, le ministre camerounais Jean de Dieu Momo dit Fo’o Dzakeutonpoug et les femmes, c’est une longue histoire. Après avoir récemment raconté à Momo l’histoire d’un médecin dont il est tombé amoureux à l’école, Jean de Dieu dévoile aujourd’hui sur sa page Facebook la puissante stratégie qu’il a utilisée pour s’approprier la mère de ses enfants en fête.

JOYEUX ANNIVERSAIRE BÉBÉ

Quand je parlais à cette fille, elle m’a dit que vous, les Africains de l’Ouest, vous n’étiez pas sérieux. Je lui dis, mais je suis d’Afrique centrale ! Où est-il ? Elle me demanda. Au milieu de l’Afrique près de l’océan Atlantique. Mais c’est l’Afrique de l’Ouest, conclut-elle.

Alors j’ai sorti le grand jeu de la séduction. Je l’ai emmenée sur l’île de Zanzibar en avion et pendant que nous y étions, nous avons loué une chaloupe pour aller à Prison Island voir les paons et les tortues géantes. Le soir, nous sommes retournés à Zanzibar pour manger du poisson mijoté sur la route, des crevettes et des étoiles de mer, etc.

Quand elle est revenue à Arusha, elle était enceinte et a dû me suivre au Cameroun. Eh eh eh… Les Kmers d’Arusha qui ont assisté à notre mariage ont dit : « Momo, toi qui es venu hier, as-tu déjà pris femme ? Le pardon nous aide à nous retrouver. » Suis-je ici pour plaisanter ? Alors joyeux anniversaire ma chérie.

Comparé à l’amour interdit, c’est une histoire incroyablement captivante de l’élève Jean de Dieu Momo et de son médecin de lycée, le pasteur garde de bons souvenirs de Mbouda.

Mbouda, ma ville, est bien dessinée, n’est-ce pas ? J’ai fait A ici l’année dernière. Tant de souvenirs. J’étais le meilleur rockeur là-bas, alors qu’à Dschang je n’étais même pas parmi les avant-derniers. Hmm, Cool and the Gang était chaud. Bob Marley venait de mourir et on l’écoutait avec nostalgie au cinéma Roxy à Mbouda.

Au lycée, j’ai joué dans l’équipe de basket-ball et j’étais rédacteur en chef adjoint de Lymbo Echo, le journal du lycée. J’étais aussi membre d’un groupe de gospel et nous avons répété les chansons gospel américaines de Luis Armstrong.

Tapindjie, une vieille confidente, m’a sournoisement rappelé mes exploits d’armes et m’a dit que j’étais secrètement amoureux de la belle médecin chef de l’hôpital de Mbouda. Il a tordu le couteau dans cette vieille blessure de guerre. Un élève de 12ème amoureux du Docteur ! Honnêtement momo, tu es sérieux ?

Elle était absolument magnifique. J’allais régulièrement à la clinique, non pas parce que j’étais malade, mais juste pour le bonheur de sentir ses mains douces me caresser. pour m’écouter

Je ne lui avais jamais parlé de mon chéri d’enfance, mais je ne pense pas qu’elle ait été dupe de mon jeu et de la fréquence de mes visites médicales. Elle savait qu’elle ne me laisserait pas indifférent. Un regard révèle toujours. Et ça l’amusait.

Un jour, elle m’a demandé ce que je comptais faire dans la vie. J’ai répondu: « Peut-être militairement ». Il y avait du recrutement militaire dans les airs et de nombreux étudiants se rendaient à une consultation médicale pour obtenir un certificat médical. « Ah oui, alors je vais guérir les gens et vous les tuerez ! Elle s’est moquée.

« Mais vous avez raison, il n’y a certainement pas de guerre au Cameroun depuis longtemps et il y a de fortes chances que vous preniez votre retraite sans avoir jamais combattu dans la guerre », conclut-elle.

Ses yeux angéliques fixés sur les miens m’ont hypnotisé. Et j’étais totalement heureuse quand je suis rentrée chez moi, dans la petite chambre que mon père m’avait louée près du Lycée de Mbouda à la Maison Blanche, pour vivre mon amour secret dans l’intimité de mon cœur.

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