Thomas Bangalter : « Je voulais mettre les machines à côté, pour expérimenter avec l’orchestre »

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Thomas Bangalter, l’ancien membre de Daft Punk, se lance dans la musique symphonique

Thomas Bangalter, l’un des membres fondateurs de Daft Punk, a récemment sorti un album solo intitulé « Riga (Take 5) », qui se distingue de l’univers électronique de son ancien groupe. Dans cet album, Bangalter explore la musique symphonique, un domaine dans lequel il avait déjà travaillé avec des orchestres pour la bande originale du film « Tron L’Héritage » et dans le dernier album de Daft Punk. Cependant, cette fois-ci, il a voulu s’essayer à l’orchestration lui-même.

La place de la technologie dans la musique de Thomas Bangalter

Dans une interview, Thomas Bangalter a expliqué que son album solo était une façon pour lui de questionner son rapport à la technologie et à la place qu’elle occupe dans sa vie et dans son processus créatif. Il a également souligné l’importance de trouver un équilibre entre l’orchestre et les machines, sans ajouter de l’électro à son album. Pour Bangalter, la technologie est fascinante, mais il est important de réfléchir à la manière dont on l’utilise et de l’intégrer avec éthique et philosophie.

Thomas Bangalter sur son expérience avec Daft Punk

Thomas Bangalter a également évoqué son expérience avec Daft Punk, expliquant qu’il avait toujours gardé une certaine distance et un détachement par rapport au succès planétaire du groupe. Il a comparé son rôle dans le groupe à celui d’un illusionniste ou d’un marionnettiste, concentré sur le spectacle plutôt que sur le public. Finalement, il a estimé que cette distance l’avait également protégé, notamment lors des concerts où il ne pouvait rien voir à cause des casques de robot qu’il portait.

Mots clés : Thomas Bangalter, Daft Punk, musique symphonique, technologie, équilibre, éthique, philosophie, succès planétaire.

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