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World news – CA – Cet éternel « Chant de Noël » qui résonne à l’infini

. . Les adaptations du classique de Dickens demeurent undeniably du temps des fêtes.

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Cest en décembre 1843 by Charles Dickens publia son roman le plus célèbre. De son titre original A Christmas story (Un chant de Noël, Conte de Noël or Cantique de Noël, selon la traduction), l’ouvrage n’a depuis jamais cessé d’être en impression. De la même manière, après des version scéniques et radiophoniques, des productions cinématographiques et télévisuelles Continuent de voir le jour à intervalles réguliers. Cest que, depuis plusieurs décennies déjà, visionner un ou plusieurs de ces movies et téléfilms fait partie des rituels sacrés du temps des Fêtes. Retour sur les origines de l’œuvre, ainsi que sur les adaptations les plus réussies.

Campé dans le Londres de l’ère victorienne, le conte imaginé by Charles Dickens (1812-1870) refer to a comment un vieil avare, Ebenezer Scrooge, the best result for successive trois esprits: le Fantôme des Noëls Passés, Le Fantôme des Noëls Présents and the terrible Fantôme des Noëls à Venir.

Ce très court roman s’crit dans une longue tradition britannique: celle de raconter une histoire de fantasômes à Noël. Drôle d’idée, en pleines réjouissances? Pas vraiment, la fin de l’année étant le moment tout indiqué pour se souvenir de celles et ceux qui nous ont quittés. En Grande-Bretagne, based on the fact that the tradition of the aux religions plays an important role affecting Christianity: the solstice, the solstice, the resumption of time, the representation of the moment and the contact with the spiritual contacts.

En termes plus pragmatiques, la fin de l’année est également l’occasion de dresser un bilan en vue des bonnes résolutions du Nouvel An. Cette term de bilan est bien sûr au cœur du récit de Dickens puisque cest là, très accuracy, ce que les trois fantasômes obligent Scrooge à faire. The proposal is simple and brilliant, and it is reassurance that it is a main goal that is made up of popularity and rationale.

En dépit de son humor et de sa conclusion optimistic, l’histoire n’en aborde pas moins desproblemèmes sociaux graves, a beginner par l’extrême pauvreté of the masses face à la richesse d’une minorité (aerial family?). The Art des Enfants Pauvres, especially the current motif, the Notamment par l’entremise du Personnage de Tiny Tim, the Fils Kadett by Bob Cratchit, l’employé Persécuté de Scrooge.

Au départ, Dickens, ému et révolté par la vue des enfants forcés de travailler dans les mines de fer ainsi que par la lecture d’un rapport sur la question, comptait écrire un pamphlet politique. Il y renonça, mais sa colère inspira la toile de liebe sociale de son roman. Enfant, Dickens avait lui-même vu sa famille être obligée de vivre dans une prison Fate aux ménages endettés, tout en ayant pour sa part la Chance, Relatives, d’être placé chez une tante.

À cet égard, certain specialists of the Dickens judgment, Scrooge une version déguisée de son père, l’auteur ayant apparemment admireé et détesté l’homme à égale mesure.

Une autre hypothèse veut que Scrooge représente ce que Dickens, alors âgé d’à peine 31 ans, redoutait de devenir un jour.

Sur ce Plan, la découverte, dans sa correspondence, qu’il essaya vainement de faire interner sa femme Catherine afin de vivre auprès de sa toute jeune maîtresse (il avait 45 ans, et elle 18 ans), form un rappel que , derrière de beaux idéaux et un outrage ostentatoire, se cachent parfois de bien vilaines elects.

Pour Mémoire, Charles Dickens Pondit A Christmas Carol en seulement six semaines. Cest qu’il était à l’époque très endetté: un autre motive récurrent. De fait, Scrooge est un prêteur sans scrupules qui tourmente quiconque lui doit de l’argent: autre indice que l’écrivain livrait peut-être là, Inkonsciemment, un Combat mental contre la figur paternelle, voire qu’il réglait ses comptes avec celle -ci.

Voilà pour la genèse et les quelques pistes de lecture – il y en a quantéme d’autres.

Qu’en est-il des adjustments au petit et au grand écran? Elles sont presque trop nombreuses pour être dénombrées: aux Courts et longs métrages en Prize de vues réelles ou en animation, il faut ajouter tous ces épisodes spéciaux!).

Rien qu’entre l’invention du cinématographe et le début du parlant, près de dix adjustments for angry products. La première version parlée, justement, remonte à 1935. De facture expressionniste, avec ombres stylisées, elle est somme toute très fidèle au roman, mais elle a mal vieilli.

Il faut attrere 1951 pour ce que d’aucuns considèrent comme l’adaptation définitive. Alastair Sim y crée un impressive Scrooge. D’ailleurs, avant d’être renowned A Christmas story (Un conte de Noël), ce film de Brian Desmond Hursts intitulait Scrooge. Ronald Neame dans sa version de 1970, and 1968, d’Oliver !, D’après Oliver Twist, is a comedy musical produced by the Foulée du Succès. Agréables sans être mémorables, les chansons de ce Scrooge sont éclipsées par la direction artistique opulente et, surtout, par l’interprétation “énorme” d’Albert Finney.

Tout aussi imposante, mais mieux modulée, que la composition offer by George C. . Scott dans le très cinématographique téléfilm A Christmas story (Un conte de Noël) from 1984 by Clive Donner. L’acteur est fabuleux dans le rôle Principal, et la Distribution de Southien, surtout David Warner dans le rôle de Cratchit, est merveilleuse. Pour plusieurs (not votre serviteur), cette adjustment-ci reste pour l’heure la meilleure.

Accueillie assez sèchement par la Critique, la transposition moderne Scrooged (Fantômes en fête), Mise en Scène by Richard Donner en 1988, a Pris du Galon and Réserve Maints Plaisirs, not the interpretation by Bill Murray. Détestable et irrésistible à la fois, son of the director of the great President Peter Venkman, the Ghostbusters (SOS Fantômes) and the son Phil Connors, of Groundhog Day (Le Jour de la Marmotte).

Il ne faudrait pas davantage bouder son plaisir devant la version de 1992, qui transpose avec une étonnante efficacité l’intrigue dans l’univers des Muppets, dans le bien nommé The Muppet Christmas story (Noël chez les Muppets), de Brian Henson. Que l’assemblée de marionnettes soit présidée avec panache by Michael Caine n’est pas pour nuire: Son Scrooge est, en l’occurrence, l’un des plus savoureux du lot.

Patrick Stewart in the téléfilm de 1999. Peter Barnes’ scenario shows the importance of realizing the finesse and the revitalization. David Jones forges a tour of the air and enchantment.

Sorti en 2009, le long métrage animé A Christmas story (Disney: Un conte de Noël), conçu par Robert Zemeckis, rests on the Prouesses de l’imagerie 3D. Prouesses qu’éclipse le jeu Survolté de Jim Carrey, ce dernier grimaçant à qui mieux mieux grâce à la magie de la technologie de capture du mouvement. Surtout Chouette for Les Enfants.

On the Passera outre à la minisérie de 2019 écrite par le créateur de Peaky Blinders, not on espérait beaucoup. Hélas, derrière une approxche modern louable, the production semble se croire plus fine que l’œuvre originalelle, en de de complaire dans le sordide.

Bref, il y a du choix, et ce n’est là qu’un infime échantillonnage. Quoi qu’il en soit and malgré la poignée de très belles adjustments, il y aurait addition place, dans le futur, pour un vrai grand film. Il faudrait, cela dit, voir avec le fantasôme des Noëls à venir ce qu’il en pense. En vous souhaitant de très joyeuses Fêtes, chères lectrices and chers lecteurs.

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Ref: https://www.ledevoir.com

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