Ce samedi 20 février, Hélène de Fougerolles était invitée au programme « Il y a plus d’une vie dans la vie » à Europe 1. La comédienne est revenue en toute transparence sur son séjour dans une clinique psychiatrique dans sa jeunesse.
Hélène de Fougerolles, très discrète sur sa vie privée, a confié toute la transparence. Dans les colonnes de Paris Match le 18 février au kiosque, l’actrice avait fait des déclarations confidentielles sur son enfance, ce qui était douloureux. Après le divorce de ses parents à l’âge de trois ans, Hélène de Fougerolles a dû faire face à de nombreux déménagements, des changements constants d’école et de nouveaux beaux-parents. À 16 ans, elle trouve enfin son chemin en choisissant de devenir actrice. Après ses premiers rôles, la jeune comédienne, confrontée à l’anorexie et à la boulimie, a eu des harceleurs lors de ses auditions, une tentative de suicide et un séjour dans un hôpital psychiatrique.
Durant cette période difficile de sa vie, Hélène de Fougerolles est revenue ce samedi 20 février, au micro d’Europe 1. L’actrice était l’invitée d’Isabelle Morizet pour son émission. Il n’y a pas qu’une seule vie dans la vie. La mère de 47 ans a évoqué en toute transparence son séjour au service psychiatrique de l’Hôtel-Dieu de Paris, qui a duré une semaine. «C’était il y a vingt ans, je ne sais pas comment c’est aujourd’hui, je ne sais pas si les personnes anorexiques sont enfermées dans des cages de verre, c’était le cas à l’époque», a expliqué l’actrice, qui souffrait de troubles alimentaires. «On suppose que ça pourrait les aider à vivre et à se nourrir, ça n’a pas marché beaucoup», a-t-elle ajouté.
Concernant les «aberrations», a expliqué Hélène de Fougerolles, «pas du tout accompagnée de ces professionnels et psychologues pour être qui devrait être là pour nous soutenir ». Et de continuer: « Je n’ai vu aucune empathie et gentillesse chez ces gens, et j’en ai vu beaucoup. […] Dans ces endroits, je ne comprends pas comment on veut vivre. » À l’époque, la jeune actrice recevait également des médicaments, comme elle le dit: «J’étais bourrée de pilules et j’ai vu tous ces gens qui ne souriaient pas et qui ont décidé de me garder enfermé parce que je pouvais être un danger pour moi-même Elle conclut Son histoire, Hélène de Fougerolles, est racontée dans son livre T’inquiète pas, maman, ça va va, qui paraîtra le 24 février.
Peut-être que le but de raconter votre histoire est de vous concentrer sur le Pour signaler le manque d’humanité dans certains départements et ainsi faire bouger les choses? Et le fait d’être riche lui enlève désormais le droit de parler du fait qu’il souffrait dans son enfance?
La vie parfois dure et la vie est belle, il peut voir le verre à moitié plein et à moitié vide.
Je suis d’accord avec toi, ce monde manque d’empathie. En mars 2020, quand nous étions enfermés, je pensais que nous allions passer un bon moment debout à la solidarité … non … les gens sont encore plus méchants et plus égoïstes. Tout le monde travaille très bien pour soi !! Où est le soutien du personnel soignant, où sont les applaudissements, où est la reconnaissance ???
Heureusement, les choses ont changé, aujourd’hui l’anorexie est reconnue comme une vraie maladie. C’est terrible de se sentir seule et abandonnée … Bravo à elle d’avoir eu le courage de se détendre …
Eh bien, je sympathise. Je ne peux pas l’aider, mais elle me fait mal. Je l’imagine comme une petite fille avec ses maux d’enfance puis ses souffrances comme la mère d’un autre enfant. Je trouve qu’il y a des destins maudits et je veux qu’elle soit un peu heureuse.
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