Dans cet esprit, le ministre Alamine Ousmane Mey a présidé un atelier national à Yaoundé le 23 février 2021 pour initier des consultations régionales dans le cadre de l’élaboration d’une stratégie gouvernementale.
Le Cameroun veut être éligible à l’Allocation pour la Prévention et la Résilience (POURC’est l’une des enveloppes introduites par la Banque mondiale à travers l’Association internationale de développement (IDACette enveloppe particulière « Est destiné à accroître le soutien pour pays où il existe un risque d’escalade vers la vulnérabilité ou vers un conflit de plus grande intensité, voire vers des incidents de violence « , les rapports quotidiens nationaux bilingues Cameroun Tribune en kiosque le 24 février 2021.
Les situations de vulnérabilité, de conflit et de violence sont des critères essentiels pour rendre le Cameroun éligible à ce guichet de financement, afin de parvenir à une croissance forte et inclusive.
Par exemple, un atelier national s’est tenu à Yaoundé le 23 février 2021 pour initier des consultations régionales dans le cadre de l’élaboration de la stratégie du gouvernement pour rendre le Cameroun éligible à ce cadre. Il était présidé par le ministre de l’Économie, de la Planification et du Développement régional (MINEPAT Alamine Ousmane Mey
Selon le ministre «Pour que le pays puisse bénéficier d’un financement du guichet PRA, il doit d’abord rédiger une note d’éligibilité. Le Cameroun fait face à de multiples défis, dans l’extrême nord face à Boko-Haram, une crise sociopolitique dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. L’afflux de réfugiés de RCA et du Nigéria, sans parler de la gestion de la pandémie de Covid-19 », on peut lire.
Pour Keiko Kubota de la Banque mondiale, « Quatre piliers importants se trouvent au milieu de cette stratégie sur laquelle baser la formulation de la note. Il y a la prévention des conflits violents et de la violence interpersonnelle, la préservation des progrès du développement, la protection des institutions essentielles, le renforcement de la résilience « ., les notes du journal.
Elle indique enfin que si tout se passe bien, Le Cameroun peut réclamer un financement de près de 670 millions de dollars (361,9 milliards de F.CFA)», Lit.
Wilfried SUPPRIMER
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