Cameroun – Missole II : le MINJEC visite une ferme agro-pastorale financée par PTS-JEUNE

Dans le cadre d’une tournée de travail à Douala, le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique a fait d’une pierre plusieurs coups, l’indestructible Mounouna Foutsou.if(typeof __ez_fad_position != ‘undefined’){__ez_fad_position(‘div-gpt-ad-237online_com-medrectangle-3-0’)};

Lors de son séjour dans la capitale économique, il a inauguré le Centre Multifonctionnel pour la Promotion de la Jeunesse (CMPJ) du 2ème arrondissement de Douala. Nous savons également qu’il a signé un accord de coopération avec YOOME MOBILE, entre autres.

L’un des principaux événements de la visite du ministre à Douala a été la visite d’une ferme agro-pastorale financée par le PTS-JEUNES dans la commune de Missole II le 18 juin, une commune non loin de Douala. Le moins que l’on puisse dire de cette ferme, c’est qu’en octobre 2020 la jeune bénéficiaire Jasmine Mamfoko a reçu un financement de 10 000 000 FCFA pour la mise en œuvre de son projet à Missolè II. L’accompagnement et les conseils des équipes locales du MINJEC et son dynamisme en font aujourd’hui une ferme de production animale de qualité, sûre, efficace et responsable.

Le ministre a exprimé sa satisfaction et ses encouragements à la jeune bénéficiaire Mamfoko Jasmine qui s’est adressée à la presse : « Je suis jeune, financé par PTS, mon projet a été financé à hauteur de 10 millions de FCFA. Je suis donc dans l’élevage porcin et je me diversifie dans les volailles d’élevage, les canards hollandais, les canards communs, les poulets et même la pisciculture. Je suis très content de la visite du ministre, et en ce qui concerne les projets futurs, c’est l’agrandissement de la pépinière, le développement de la pisciculture. Mon conseil aux jeunes est d’être patient, travailleur et persévérant. Aussi que le PTS est réel et vrai ».

Passionné d’élevage, il faut dire que Mamfoko Jasmine a pu réaliser son rêve grâce au programme PTS-JEUNES. « Nous avions un matériau temporaire, comme vous l’avez vu, et nous avons eu du mal à nous diversifier comme vous l’avez vu. Aujourd’hui, nous sommes à 40 cochons. Quant à la volaille, il existe des centaines de volailles de bonne qualité » elle a dit aux journalistes.if(typeof __ez_fad_position != ‘undefined’){__ez_fad_position(‘div-gpt-ad-237online_com-medrectangle-4-0’)};