Dans l’édition en kiosque du 2 août 2021, le journal Cameroon Tribune tente de répondre à cette question.
Dans l’édition en kiosque du 2 août 2021, le quotidien Cameroun Tribune revient sur le nombre de partis politiques existants au Cameroun (328), et sur le processus de mise en place de ces partis politiques. Le journal rappelle que le processus de création des partis politiques dans notre pays est déterminé par le Loi n° 90/056 du 19 décembre 1990 concernant les partis politiques. Cette loi détermine au chapitre II les conditions de constitution d’une formation politique.
Selon cette loi, le dossier contient : La demande timbrée indiquant les noms, l’adresse evenals de volledige identiteit, het beroep en de woonplaats van degenen die verantwoordelijk zijn voor de leiding en / of het bestuur van de partij, bulletin nr. 3 van het strafregister van de officieren, de notulen van de grondwetgevende vergadering in drievoud, de statuten in drievoud, de schriftelijke verbintenis met gelegaliseerde handtekening om principes te respecteren zoals niet-schending van nationale eenheid of integriteit, van de republikeinse staatsvorm, van nationale soevereiniteit …, een memorandum over het bedrijfsproject of het politieke programma van de partij, de indicatie van la chaise », est en train de lire le journal.
D’autre part, « La demande de La création d’un parti politique se fait en déposant un dossier complet aux services du gouverneur territorialement compétent. Ce dernier dispose de 15 jours de congé pour transmettre le dossier au ministre chargé de l’Administration territoriale… la décision d’autoriser l’existence légale d’un parti politique est prise par le ministre chargé de l’Administration territoriale ». En cas de silence pendant trois mois à compter de la date de dépôt du dossier aux services du gouverneur territorialement compétent, « Le parti est réputé exister légalement », on peut lire.
Sur la base de ce processus, notre confrère a indiqué que la création d’un parti politique au Cameroun est simple et simplifiée. Alors, « Pour maîtriser certaines personnes »fantastiques », on pourrait par exemple imposer une caution à payer par le futur chef du parti. Ce serait un gage de sérieux et de détermination pour contribuer efficacement à l’expression du suffrage universel et de la pluralité des opinions. À un autre niveau, certains soutiennent que ces partis politiques peuvent être tenus de soumettre des rapports d’activité sur une certaine période. Sinon, ils pourraient être suspendus et éventuellement dissous., allumé.
Wilfried SUPPRIMER
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