Le Secrétaire général du Comité central a l’habitude d’insulter la direction du président national du parti au pouvoir et de mépriser ses camarades en faveur du favoritisme et des affaires. Le Secrétaire général du Comité central devrait partir de la base en ce qui concerne la mise en œuvre de la nouvelle circulaire relative à la campagne. La prochaine élection.
La scission créée par Jean Nkuiti lors des récentes consultations électorales qui ont engagé les militants et les candidats du Parti communiste démocrate dans des jeux politiques est susceptible de se poursuivre, car le ressentiment qu’il a créé lors de la sélection régionale reste avec force contre le parti. Tout cela fait craindre un renouvellement implicite du mépris manifesté par le secrétaire général du comité d’orientations que le chef de l’Etat a placé dans le cadre des grandes réunions électorales comme celle qui se profile à l’horizon.
Pour cette campagne, comme d’habitude, les règles ont été fixées par le chef national du parti au pouvoir. Ainsi, en ce qui concerne le choix de la représentation des partis dans les commissions électorales, il sera guidé par «des critères d’engagement, de dévouement, de loyauté, d’expérience et de disponibilité». Le président, qui attache de l’importance à « l’application stricte et au strict respect des dispositions de la circulaire », précise que les membres du gouvernement, les élites, les parlementaires et autres soutiennent activement les comités communautaires.
Ces dernières instructions pourraient-elles fleurir quand on connaît le nombre de frustrations que le clan Nkwit a causé dans la sélection des candidats du parti lors des élections municipales, législatives et régionales? Comment attirer les meilleurs financiers du parti qui a rejeté les nominations pour le couronnement de son usurpation d’identité? Tout comme il lui sera difficile de rejoindre sa cause et la cause du parti, il en va de même pour les camarades «rebelles» qu’il a exécutés lors de son faux conseil de discipline.
Ce n’est que, comme d’habitude, qu’il déchirera la généralisation du président et appliquera les dispositions de son programme personnel de trahison, de favoritisme et d’instabilité. Les manœuvres commerciales dénoncées pendant la période d’investissement et dont les conséquences sont nées de la colère de certains des empereurs du parti vont s’épanouir. Dans la logique de la décapitation des grands noms du parti, le secrétaire général du Comité central continuera de chercher à corrompre la capitale, dont le président national s’est chèrement saisi pendant de longues années marquées par des batailles épiques et amères.
Jean Nkuit ne prendrait pas la peine de mettre sous le feu ceux qui composent la base du parti, en particulier les dirigeants et les grands financiers qui ont été mis à l’écart au délit de dynamisme. L’homme qui utilise le parti comme un outil au service de la déstabilisation du pays et de la réalisation de ses projets égoïstes, ne s’arrêtera à rien pour supprimer tout ce qui le bloque. Suivra-t-il la campagne de sensibilisation du président?
En plus de trahir la loyauté des groupes du parti, que le chef de l’Etat a assignés pour soutenir les idéaux de ce mouvement dont la base s’agrandit comme le Triangle national, la Sécurité publique est incapable de se mobiliser dans son village. Sucré. Par conséquent, il prive le parti de son groupe traditionnel de militants, qui est une certaine force électorale préparée à toute épreuve.
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