Révolution dans l’enseignement supérieur au Cameroun : les recteurs sont-ils désormais élus ?

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Le Syndicat national des enseignants du supérieur (Synes) au Cameroun pousse pour une réforme radicale de l’enseignement supérieur. Le syndicat appelle à l’élection des recteurs plutôt que leur nomination. Cette proposition fait suite au dépôt d’un projet de loi de réorientation de l’enseignement supérieur au Cameroun. Pour Synes, l’élection des recteurs contribue à une gouvernance démocratique et participative au sein des universités.

En plus de l’élection des recteurs, Synes propose également des changements concernant les notes universitaires, ainsi que l’âge de la retraite. Le syndicat propose notamment de relever l’âge de la retraite pour les enseignants de 60 à 65 ans et pour les professeurs associés et professeurs de 65 à 70 ans. Les enseignants de l’enseignement supérieur au Cameroun sont connus depuis longtemps pour leur engagement en faveur d’une réforme significative et progressive.

Le projet de loi est actuellement devant l’Assemblée nationale. Il est à espérer que la communauté universitaire, y compris le Synes, continuera à être impliquée dans le processus visant à garantir une réforme juste et efficace de l’enseignement supérieur au Cameroun. Cette réforme pourrait constituer une avancée importante pour l’enseignement supérieur au Cameroun, pays connu pour ses universités de qualité.

En somme, le Synes appelle à un changement majeur dans la gouvernance universitaire au Cameroun en proposant l’élection des recteurs et d’autres changements concernant les notes universitaires et l’âge de la retraite. Cette réforme pourrait contribuer à une gouvernance démocratique et participative au sein des universités et garantir une réforme juste et efficace de l’enseignement supérieur au Cameroun.

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