Des brasseries camerounaises surprises en train de vendre des produits périmés narguent l’une des victimes

C’est une affaire incroyable que vous n’en croirez pas vos yeux.if(typeof __ez_fad_position!=’undefined’){__ez_fad_position(‘div-gpt-ad-237online_com-medrectangle-3-0’)};

En 2017, dans l’une de leurs campagnes promotionnelles pour vendre ses produits, les brasseries camerounaises ont estimé qu’elles devaient jouer sur la vigilance des consommateurs pauvres pour se débarrasser de leurs stocks périmés et gagner de l’argent au détriment de leur santé – ceci.

TCHITCHO OUETE MERLIN a découvert le pot aux roses en ce jour du 02 novembre 2017. En effet, le directeur commercial KEME EDJENGUELE, agissant pour le compte des brasseries, a été l’initiateur de cette vente promotionnelle de 1,5 litre de jus d’orangina au prix de 500 francs. Merlin pour étancher sa soif et sans méfiance a obtenu deux bouteilles pour 1000 francs CFA. En consommant la première bouteille, après un goût inhabituel de ce jus sur la bouteille décide de regarder la date de péremption. C’est ainsi qu’il découvre que le produit est périmé.

Après le dépôt de sa plainte auprès de la brigade de gendarmerie de New Bell, les ventes ont été interrompues et les produits ont été saisis et restitués sous forme de timbres à la Direction du Commerce. le directeur commercial de la brasserie et son équipe seront entendus et déférés devant le tribunal de première instance de Douala Bonanjo. Pour justifier sa vente, ce responsable commercial a déclaré que les produits périmés vendus étaient une erreur de l’opérateur. Il sera libéré sous caution après 72 heures de garde à vue et une enquête sera ouverte devant le même tribunal.

Trois ans plus tard, une ordonnance de renvoi devant le Tribunal de première instance statuant sur les affaires pénales sera notifiée aux brasseries à la suite des conclusions du juge d’instruction qui a indiqué dans ses conclusions que les charges étaient suffisantes pour poursuivre tous les suspects. avec rectificatifs.

if(typeof __ez_fad_position!=’undefined’){__ez_fad_position(‘div-gpt-ad-237online_com-medrectangle-4-0’)};La même année, le directeur général des brasseries, conduit par un médiateur pour régler cette affaire à l’amiable, a regretté le caractère tardif du procès et a décidé de s’en remettre aux décisions de justice. Depuis ce jour, les brasseries camerounaises n’ont pas assisté à une audience et le tribunal est obligé de renvoyer l’affaire à chaque fois. La prochaine audience prévue le 13 septembre 2021 verra-t-elle enfin comparaître le représentant légal des brasseries pour que la justice puisse vider ce dossier qui a déjà ruiné la victime jusqu’à présent ?
Nous reviendrons