Le Johnston College, propriété à 100 % de l’Église presbytérienne du Cameroun (EPC), a constitué la base d’un partenariat avec la Fédération camerounaise de volley-ball (FECAVOLLEY).
Les religieux protestants ont offert des espaces pour le projet sport-étude dans tout le pays. Malheureusement, après le départ de l’ancien dirigeant de la FECAVOLLEY, une dette de plus de 20 millions de francs CFA s’est contractée et tant le personnel administratif que les enseignants ne sont plus payés. Face à cette situation, les religieux sont en larmes et agacés. L’heure est grave et il est important de se demander ce qui s’est réellement passé dans cette troublante collaboration. Retour sur une situation qu’il est urgent d’éclaircir.
Une collaboration surprenante et des liens rompus
L’Eglise Presbytérienne du Cameroun a signé un partenariat avec la FECAVOLLEY pour le projet sport études. Les religieux mettent à la disposition de la FECAVOLLEY des espaces sur tout le territoire national. Malheureusement, après le départ de l’ancien dirigeant de la FECAVOLLEY, une dette de plus de 20 millions de francs CFA s’est accumulée. Les enseignants, le personnel administratif ne sont pas payés et les religieux sont désespérés. Les parents des élèves sont inquiets et ne savent plus à quel sein se consacrer. L’ancien directeur de la FECAVOLLEY doit clarifier la situation et répondre aux questions des religieux.
Religieux éploré et exaspéré
À ce jour, le clergé protestant est en larmes et exaspéré. La FECAVOLLEY n’a à ce jour rempli aucune de ses obligations. Cela ressemble à un film d’horreur. Un pasteur de Johnston a exprimé son agacement et les chefs de famille vivant de ce partenariat sont dans une situation alarmante. Les religieux protestants ont misé sur la bonne foi de la FECAVOLLEY et sont désormais dépendants d’un endettement important. Il est impératif que l’ancien directeur de la FECAVOLLEY clarifie la situation et trouve une solution pour sortir de cette impasse.
Il est important que la FECAVOLLEY clarifie de toute urgence cette situation chaotique et injustifiée. Les religieux ont misé sur la bonne foi de la FECAVOLLEY, mais malheureusement cette confiance ne semble pas être respectée. Il est temps pour la FECAVOLLEY de prendre ses responsabilités et de trouver des solutions pour sortir de cette situation difficile. Religieux, personnels administratifs, enseignants et parents d’élèves ont besoin de réponses concrètes pour espérer un avenir meilleur.
TTSO / 237online.com
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