L’ancien capitaine des Lions Indomptables, candidat à la présidence de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), a rejeté son projet en termes de cinq grands chantiers.typeof __ez_fad_position!=’undefined’&&__ez_fad_position(‘div-gpt-ad-237online_com-medrectangle-3-0’)
Le temps n’est plus aux conjectures. Il est maintenant temps d’agir. Samuel Eto’o Fils vient de franchir le Rubicond. Après avoir officiellement annoncé sa candidature au poste de Président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), le gardien emblématique des Lions Indomptables et non moins ex-capitaine vient de dévoiler son programme. Un manifeste électoral qui devra séduire les électeurs membres de l’Assemblée générale de l’instance faîtière nationale, et bien plus encore, pour que « l’esprit de conquête pour une quigagne camerounaise » convainque et triomphe. Eto’o Fils veut, pour ainsi dire, « rendre à chaque Camerounais et à chaque Camerounais la fierté d’appartenir à un grand pays du football ».
Pour y parvenir, après avoir posé un diagnostic sans concession sur le niveau d’enlisement du football camerounais, de Pichichi se livre dans le détail, les principales caractéristiques de ses nombreux sites du « Tour de Tsinga ». Ainsi, cinq piliers fondateurs et innovants sont mis en évidence. Premièrement, « Améliorer la gouvernance ». Cette gouvernance capricieuse est considérée comme une gangrène qui a entraîné la métastase de la Fécafoot. Pour sauver ce qui reste à sauver, le quadruple Ballon africain veut « restructurer l’administration fédérale, rétablir les équilibres financiers et trouver de nouvelles ressources financières ». Deuxièmement : « Développer le football ». Pour le futur président de la Fédé, il s’agira de « mettre l’accent sur le football des jeunes, réformer le football professionnel, accroître le potentiel du football féminin, relancer le football amateur et restructurer les compétitions spécialisées ».
Intérêt commun
Troisièmement : « Mobiliser les footballeurs ». Tout cela est urgent, selon le promoteur du projet, pour « améliorer les compétences des acteurs et construire une relation saine et apaisée avec l’autorité de tutelle ». Surtout quand on considère que la coopération entre le ministère des Sports et de l’Éducation physique et la Fecafoot n’a pas toujours été cordiale, basée sur une osmose. Ce partenariat, parfois houleux et tendu, a contribué en grande partie à l’effondrement du football national à cause des guerres des tripes, des tacles et des anti-jeux de part et d’autre. Quarto, « Améliorer l’attractivité de nos compétitions ». Samuel Eto’o Fils envisage de parier
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