Au Maroc, le chef du gouvernement était, ce lundi 18 avril, devant le Parlement, lors d’une séance plénière. Aziz Akhannouch qui s’exprimait pour la première fois sur le boom des prix des denrées alimentaires et des carburants, a tenté de rassurer en mettant en avant la stratégie de son gouvernement sur ces questions. Il a, et retour, essuyé des critiques de l’opposition qui réclame le plafond des marges des sociétés pétrolières.
Devant les députés, le chef du gouvernement marocain insiste sur le difficile contexte actuel, au niveau international et national, marqué par le conflit russo-ukrainien, la crise sanitaire mondiale et les faibles précipitations enregistrées dans le royaume.
Selon Aziz Akhannouch, le taux de croissance prévu pour cette année est revu à la baisse : entre 1,5 % et 1,7 % au lieu de 3,2 % prévu dans la loi des Finances.
Le chef de l’exécutif affirme que le gouvernement reste toutefois attaché à ses engagements, en Privé sur le volet social. Il a rencontré notamment en avant l’aide financière de près de 200 millions d’euros attribués aux professionnels du transport, dans un contexte de flambée des prix du carburant et des denrées alimentaires.
Cependant, dans les rangs de l’opposition, certaines voix (notamment au sein du parti du progrès et du socialisme) critiquent les marges exorbitantes des sociétés pétrolières et appellent le gouvernement à les plafonner et à éviter les conflash.
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Cette critique est également adressée au chef de l’exécutif. Aziz Akhannouch est un homme d’affaires qui bati sa fortune sur la distribution des hydrocarbures.
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