Environ trois mois après la mort du dictateur camerounais de 87 ans, Paul Biya, le pays aurait commencé à connaître une crise politique. Le secrétaire général du pays à la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh, d’une part, et le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, d’autre part, se battent pour qui succéder au défunt président Paul Biya.
Une source du régime de Biya a laissé entendre à BN que M. Biya était décédé plus tôt en mars 2020 et que les responsables du Cameroun français craignaient de révéler la vérité afin d’éviter une possible agitation politique.
« Monsieur. Biya est mort. Il n’a prononcé aucun discours le 19 mai. C’était simplement une manipulation numérique dans laquelle une image animée de lui a été utilisée », a révélé notre source.
La source a ajouté que la célébration de la fête nationale n’aurait pas pu être annulée en raison de la pandémie de COVID-19 uniquement pour la réouverture des écoles 11 jours plus tard. Pour lui, le régime dont il fait partie s’est complètement effondré car la vérité ne peut pas être cachée trop longtemps.
Récemment, l’ambassadeur américain au Cameroun a réservé une audience avec le présumé président Biya au pouvoir, mais l’audience a été rejetée par les substituts du régime.
SOURCE: https://www.w24news.com
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