Rentrée des enseignants, Moustapha Adib désigné Premier ministre du Liban, enquête épidémiologique sur l’incendie de Lubrizol… L’actu de ce lundi
Ecole en plein air : «La différence est très nette en termes de bien-être et de motivation» Abonnés
Ligue pour la protection des oiseaux : «Nous ne voulons plus participer à cette situation humiliante» Abonnés
Pujadas a-t-il raison de dire que la carte de France du Covid-19 serait «verte» si les anciens indicateurs avaient été conservés ?
Covid-19 : que sait-on aujourd’hui de la transmission du virus par aérosols dans les espaces clos ?
Non, l’absence d’oral à l’ENS-PSL n’a pas provoqué un bond du nombre de femmes admises
Li Beirut. Une voix sâélève. Celle de Fairouz qui dédie cette chanson adaptée du Concerto dâAranjuez à la ville qui a vu sâémanciper la plus grande voix du monde arabe avec Oum Khaltoum. Enregistré en 1983-84 et réédité cet été par Wewantsounds sur lâalbum Maarifti Feek, ce titre culte est devenu lâhymne officieux de la contestation et des douleurs qui secouent une nouvelle fois le Liban. «Les cendres de Beyrouth témoignent de sa gloire, ma ville a désormais éteint ses lumières avec le sang des enfants sur ses mainsâ¦Â»Â dit notamment ce texte écrit à lâépoque par le poète libanais Joseph Harb. On ne peut plus explicite.
Ce nâest pas la première fois que Fairouz aura incarné les messages, parfois même contradictoires, dâun pays sujet de bien des divisions. Elle en est devenue lâicône planétaire, elle le fédère, tout en sachant affirmer ses convictions intimes, et câest pour cette stature sans équivalent, sans doute, quâEmmanuel Macron viendra rencontrer la grande dame
SOURCE: https://www.w24news.com
Laisser un commentaire