Habitués aux détournements et aux enrichissements illicites, les fossoyeurs de la république camerounaise, ne savent plus où donner la tête, depuis la mise en place par l’Etat camerounais, des mécanismes de démantèlement et d’assainissement des services publics de l’Etat. Face à ces nouvelles configurations qui prennent place petit à petit, les ennemis du pays cherchent aussi à conserver leur réseaux mafieux coute que vaille. Le cas de que plusieurs appellent aujourd’hui, le scandale Gicam – Sabc – DGI.
De quoi s’agit-il ?
Selon des sources, plusieurs hautes personnalités du Cameroun sont concernées dans cette affaire. Elles nous ramènent des années en arrière, au temps où Abah Abah était directeur des Impôts. Celles-ci font état d’un réseau des plus maléfiques, sur le dos des pauvres camerounais. Le pseudo milliardaire aurait alors bénéficié de ce réseau, qui serait d’ailleurs l’une des sources de sa fortune présumée. Une source bien précise révèle que : « (A cette époque) Vous devez 20 milliards au Fisc ? Contre 2 à 3 milliards, Célestin vous faisait payer 10 milliards et tout le monde il était content. Excepté bien sûr le trésor public ! Vous devez 5 milliards au Fisc ?
Contre 600 millions, le pseudo milliardaire vous faisait payer 2 milliards et tout le monde était content. Il partageait avec son mentor, les milliards de la médiation. On ne saura jamais la proportion. Avec les successeurs de Abah, Tawamba n’a pas eu de gros soucis. Il a continué à encaisser ses milliards et à mener un train de vie princier. Jusqu’à l’arrivée du DGI Modeste MOPA FATOING».
Qui est Modeste MOPA FATOING ?
Il s’agit de l’actuel DGI (Directeur Général des Impôts », la bête noire du gang mafieux qui peine encore à se remplir les poches depuis son arrivée.
En effet, DGI semble déterminé à remettre les pendules à l’heure. Il va d’ailleurs selon les informations, « mettre un terme à la mafia du propriétaire de Pasta, qui ne connaît de bénéfice que celui prélevé sur le Fisc ».
Face à ce nouvel adversaire jeune mais féroce, pseudo milliardaire multiplierait « des démarches pour mettre dans sa poche le jeune homme comme l’attestent des témoignages et des documents incontestables ». Le pseudo milliardaire aurait même déployé des trésors de génie, utilisé des intermédiaires. Mais rien !
Le DGI reste ferme et ne cède pas. Face à ce refus, une source digne de foi affirme que, la posture du DGI aurait plus que frustré le pseudo milliardaire et ses acolytes ; ceux-ci auraient alors sollicité une agence de Conseil. Sa mission : organiser une campagne de désinformation et de déstabilisation contre le DGI.
Même en France ne pas payer les impôts est synonyme de crime économique et être en coaction avec ces voyous est synonyme de poursuites judiciaires y compris les journalistes impliqués.
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