Si la France venait à être redéfinie, les présidents de la Fédération Française d’Equitation, Serge Lecomte, et celui du comité d’Ile-de-France, Emmanuel Feltesse, espèrent que ce concept, encore plus inquiétant en l’automne qu’au printemps, seront pris en compte dans les mesures de © créées par le gouvernement
 «Ã ?? à quelques heures des annonces du gouvernement, nous vous écrivons de toute urgence pour vous alerter sur la prise en compte du bien-être animal dans l’application des mesures sanitaires qui seront annoncées ce soir « , écrivent-ils dans un communiqué adressé aux autorités françaises
Car, poursuivent-ils, « contrairement au printemps, il est impossible à cette période de l’année de mettre toute la cavalerie des 9 500 structures équestres françaises à l’épreuve Hormis les conditions météorologiques difficiles et hivernales, les pâturages largement utilisés pendant premier confinement ne sont pas prêts à accueillir les chevaux et poneys dans de bonnes conditions de sécurité Â »
Les équidés seront donc « laissés en boxe si les établissements équestres sont totalement fermés au public Les chevaux et poneys devant sortir tous les jours, il est impératif pour nos établissements de pouvoir garder l’accès quotidien des cavaliers et les propriétaires dans un cadre sanitaire et une organisation définie, assurent- ils La seule présence du personnel dans les structures ne suffira pas arithmétiquement à s’occuper de tous les chevaux et poneys des clubs »
Serge Lecomte et Emmanuel Feltesse craignent « un désastre sanitaire pour des dizaines de milliers de chevaux et poneys Hormis les questions de soutien économique qui devront être traitées dans les prochains jours, il nous semble essentiel de pouvoir agir immédiatement sur la considération du bien-être des personnes  »
Fédération Française d’Equitation, Equitation, Sport Equestre
Actualités du monde – FR – Des responsables fédéraux préoccupés par les conséquences d’un durcissement des mesures sanitaires
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